LE BON, LA BRUTE OU LE TRUAND
LE BIEN, LE FORT ET LE MAL
LE BIEN, LE FORT ET LE MAL
La spiritualité est la vie, la base de notre conscience? Pensées tournée vers le miracle avec le filtre de l’amour plutôt que le filtre du mental de la peur.
LE PARADIS EST UNE CONSCIENCE DE NOTRE UNITÉ
Ce qui est difficile, c’est d »apprendre la pensée juste. L’amour est une onde de cette pensée juste.
Quand quelque chose arrive avec raison, cela ne veut pas dire que c’est une bonne raison et qu’il ne faut pas s’en occuper.
Lorsque nous observons, nous comprenons que chaque situation est relation.
La vie est toujours prête à tout recommencer.
On ne peut pas aller vers Dieu, l’essence cosmique la force supérieure, quelque soit le nom qu’on lui donne puisqu’il n’est pas mesurable, si d’autres personnes ne sont pas impliquées.
La clé et la personne en face de soi. On y rentre à deux
JUGE = SÉPARATION = EGO (L’EGO est la croyance en la séparation)
Chaque personne que nous rencontrons, est une chance donnée par une loi divine. Chaque rencontre représente deux âmes réunies et une opportunité de croissance maximale.
Plusieurs types de rencontres:
LE POUVOIR C’EST DE DONNER
L’INTENTION C’EST DE LA MANIPULATION, SANS INTENTION C’EST LE POUVOIR DE L’AMOUR
TOUS CEUX QUE NOUS RENCONTRONS SONT SOIT NOTRE SOUFFRANCE, SOIT NOTRE SALUT. L’IMPORTANT EST DE NOUS RAPPELER DE QUI NOUS SOMMES ET QUAND NOUS NOUS RAPPELONS, NOUS NOUS SOUVENONS DE QUI EST L’AUTRE. LA EST NOTRE SALUT, NOUS SOMMES TOUTES ET TOUS FILLES ET FILS DE L’UNIVERS, L4ESPRIT SAIN EST NOTRE MÉDIATEUR.
LA SEULE CHOSE FONT ON PEUT ÊTRE SAUVÉ, C’EST DE NOTRE PROPRE FOLIE !
LA VRAIE QUESTION A SE POSER EST :
Est-ce que vous donnez tout ce que vous avez dans cette relation?
Le problème n’est pas la situation, mais qui je suis dans cette situation. Nous devons aller vers le fonctionnement sain, comme la vie nous le montre constamment tout collabore. La terre n’est pas séparée du ciel tout comme le cœur n’est pas séparé du cerveau.
Le cancer est le fonctionnement d’une cellule qui ne veut pas collaborer, coopérer avec les autres cellules. C’est la maladie de notre planète.
Nos cellules savent exactement quoi faire. Il est surprenant dans notre société que de plus en plus de personnes s’inquiètent de ce qu’il mettent dans leurs intestins, et selon moi cette inquiètude provient de l’amour de la vie juste, mais qu’ils ne s’inquiètent pas de l’ alchimie médicamenteuse.
Depuis plusieurs années, je constate que le complexe médical et pharmacologique à médicalisé le désespoir humain normal. Perdre quelqu’un est douloureux mais ce n’est pas une maladie mentale.
Les pilules vous signifiant un apaisement sont une terrible escroquerie. Être exilé du jardin d’Eden, c’est cela qui fait la souffrance. La douleur psychique est là pour une raison.
LE VRAI PROBLÈME EST QUAND ON SE DÉSENSIBILISE A LA DOULEUR DES AUTRES.
Ce n’est pas que l’amour n’est pas là, c’est simplement qu’on le garde à distance.
Quand on se transforme spirituellement, ce qui existait, n’existe plus.
L’EGO dit : « Je veux quelque chose d’autre »
L’ESPRIT dit : « Je vais transformer ce que tu as déjà
Dans notre soci2té, être triste est mal perçu, Nous avons plus de foi dans les produits chimiques que dans notre potentialité divine. La science est brillante à bien des égards, cela ne signifie pas qu’elle est la réponse ultime ! C’est important de ne pas se prendre au sérieux car la vie est sérieuse.
LE BUT EST DE TROUVER LA PAIX INTÉRIEURE.
LISEZ LE JOURNAL ET PRIEZ? AGISSEZ POUR QUE LE MONDE AILLE MIEUX§
TOUT CE QUE NOUS DONNONS NE PEUT PAS NOUS MANQUER
MÉDITATION
Dans n’importe qu’elle situation, donnez moi la conscience pour comprendre ce qu’il m’arrive; La source est en soi et je sais que ce qui bloque ma manifestation est en moi même
La douleur émotionnelle n’est pas seulement un problème d’ordre psychologique. C’est un problème spirituel. La dépression est peut-être, ou pas un trouble cérébral, mais elle est certainement une affection de l’âme. Il est impossible de s’en débarrasser en s’en remettant simplement à la médecine ou à la psychothérapie traditionnelle. Comment une méthode qui ne reconnait pas l’existence de l’âme pourrait-elle la guérir?
Au cours de ces dernières décennies, le corps médical s’est approprié la question de la dépression en dissociant artificiellement les termes « tristesse » et « dépression », ce qui est d’aucune utilité, sauf pour l’industrie pharmaceutique. Cette dissociation est une construction manipulatrice, qui sert la vente des traitements médicaux, mais n’apporte tien au traitement du problème. Les gens parlent à présent de « dépression clinique » comme si cette maladie était détectable à l’aide d’une prise de sang. On pourrait donc dépister la dépression en cochant les cases d’un questionnaire.
Évidemment les gens ont besoins parfois de toute l’aide possible, médicamenteuse ou autre, et le traitement médicalisé de certains troubles mentaux tel que le désordre bipolaire ou la schizophrénie, peut sauver des vies. Mais bien que dans certains cas l’utilisation de médicaments puisse être efficace, voire vitale, cette consommation irréfléchie d’antidépresseur en constante augmentation n’est certainement ni efficace ni vitale.
Aujourd’hui, des centaines de milliers personnes, après avoir simplement mentionné à une ou deux reprises qu’elles traversaient une période difficile, sortent de chez le médecin avec une ordonnance entre les mains. Nous sommes bombardés de tous les cotés par l’illusion d’une vie plus heureuse grâce à la chimie.
Tous ceux qui traversent une période difficile, voire très difficile, ne sont pas atteints de maladie mentale. Il est important de ne pas minimiser les questions de santé mentale, mais il est tout aussi essentiel de ne pas pathologiser ) outrance la souffrance humaine. La vie peut être douloureuse. Le passage à l’âge adulte est difficile, mais ce n’est pas une pathologie mentale. Un divorce est difficile mais ce n’est pas une défaillance mentale. Le deuil d’un proche est douloureux, mais ce n’est pas un trouble mental. S’il en est une, la seule pathologie mentale est cette idée pernicieuse que la profonde souffrance en est une.
Éviter la tristesse amoindrit notre capacité d’apprendre d’elle. Comment comprendre profondément ce que nous n’avons pas réussi à voir ?
Tout comme les bébés développent les anticorps dont ils ont besoin qu’en étant exposés aux bactéries, les gens qui évitent à tout prix de souffrir ne développent pas les compétences émotionnelles nécessaires pour y faire face.
En reconnaissant la signification spirituelle de notre tristesse, nous trouvons sa place dans notre psyché et comme dans notre vie. Nous prenons conscience de ce qui nous à éloignés de l’amour, des autres, et donc des forces supérieures. Ainsi en reconnaissant la véritable racine de notre souffrance, nous retrouvons notre puissance et agissons sur le problème à l’endroit même ou il se trouve.
Cette proportion au « moi d’abord » est la cause de notre épidémie de malheur; En changeant notre attitude de façon collective, nous guérissons. Une société dont les systèmes sociaux et économiques nous incitent à vivre séparés d’avec soi même, es autres et de la terre sur laquelle nous vivons est une société qui n’apporte que de la souffrance. C’est un monde malade, qui traite de fous ceux qui n’y trouve pas leur place. Essayer de s’adapter à une société dysfonctionnelle ne nous guérit pas de notre souffrance, c’est une façon pernicieuse d’aggraver notre désespoir.
D’un point de vue spirituel, l’humanité est atteinte de déficience cardiaque. Pour guérir d’une fracture, nous ne pouvons pas nous contenter d’avaler un antidouleur. Nous devons réparer l’os. Pour guérir notre cœur malade, avaler un antidouleur n’est pas non plus une réponse suffisante. Nous devons restaurer notre pensée.
Embrasser votre tristesse, elle vous en dira long sur la connaissance de soi.
Bonne méditation
Pour expliquer la différence entre les deux, le mieux est de ce référer au moine bouddhiste Matthieu Ricard, un home doté d’une capacité légendaire à contrôler ses propres pensées.
Récemment Ricard à été invité par la Neurologue Tania Singer à passer une matinée dans son appareil IRM. Singer se demandait ce qui se produisant dans notre cerveau lorsque nous éprouvions de l’empathie. Et surtout, elle se demandait si il existait une alternative.
La veille à la demande de Singer, Matthieu Ricard avait visionné un documentaire sur des orphelins abandonnés dans une institution en Roumanie. Lorsque, le lendemain, on lui enfourna le cerveau dans la machine, Singer lui demanda de repenser à leurs regards vides. A leurs corps tout maigres. Ricard tenta de se représenter le plus intensément possible ce que ressentaient ces enfants.
Une heure plus tard, il était complètement vidé.
En effet, c’est ce que produit l’empathie. Elle nous exténue. Continuer la lecture
En cette époque troublée , un changement dans notre façon de vivre se fait ressentir. Notre mécanisme de survie est très sollicité. Aussi je vous propose de découvrir nos 4 archétypes liés a notre survie pour vous aider a avancer plus sereinement et en conscience des troubles et des ascenseurs émotionnels que beaucoup ressentent.
LES 4 ARCHÉTYPES DE SURVIE : L’ENFANT, LA VICTIME, LA PROSTITUÉE, LE SABOTEUR
Chaque audios de cet article correspond un les des 4 archétypes. n’hésitez pas partager autour de vous, ces audios peuvent être une aide précieuse pour vos amis.
Si vous souhaitez allez plus loin, n’hésitez pas à prendre RDV pour connaitre la roue de vos 12 archétypes qui œuvrent dans votre vie.
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Depuis toutes mes années de pratique dans le domaine des relations humaines et dans l’enseignement en lien avec l’aspect affectif, j’ai pu constater qu’il y a beaucoup de confusion dans la définition de l’amour avec l’attachement.
L’attachement est selon mes recherches et perceptions est souvent associé à un mal-être. Il est davantage porteur de souffrance et relié à l’ego, à l’insécurité et à la peur de se retrouver seul. Il donne souvent une fausse impression d’être en amour mais en fait, c’est comme si la personne rencontrée devenait l’objet qui vient remplir un vide. Cela est inconscient tant qu’une démarche d’autonomie affective n’est pas entreprise. C’est le monde des illusions qui s’exprime à son meilleur. De là risquent de naître les relations toxiques.
Il y a tout de même une forme d’attachement sain qui naît de l’amour profond entre deux personnes mais malheureusement, l’attachement qui fait souffrir est souvent mal identifié. C’est pourquoi je vous partage ces quelques pistes de réflexion qui je l’espère, vous aideront à faire la différence à ressentir si vous avez vécu ou vivez l’amour véritable en relation.
Si c’est aussi sombre, comment pouvez-vous appeler cela de l’amour?
Ne serait-ce l’exemple parfait de l’attachement et de la peur de l’inconnu et de la solitude?
En résumé, l’attachement toxique ne peut fortifier une relation. Toutefois, la forme d’attachement heureux qui est exprimé par le lien affectueux et amoureux est quant à lui source de grands bonheurs.
Besoin d’aide pour y voir plus clair ? ici
JE VAIS VOUS RACONTER UNE HISTOIRE PARCE QU’ELLE TRAITE DE LA FAÇON DONT LA CONNAISSANCE VIENT AUX GENS
il y a bien longtemps, le monde était plongé dans le noir, il n’y avait de lumière nul part. Tout le monde ne cessait de se cogner contre les choses, et plus d’une tête était Continuer la lecture
QUAND NOUS RESSENTONS LE VIDE, NOUS AVONS MAL! POURQUOI ?
Parce que auparavant il y a eu relation satisfaisante. C’est par rapport à une lien affectif et agréable qu’émerge le sentiment douloureux d’en être privé. Quand on nie cette souffrance (un de perdu dix de retrouvés) (même pas mal!) , on s’installe dans un fantasme d’autosuffisance. Dans le pire des cas, on fait une croix sur tout amour ou amitié à venir. Le « pas besoin de lui, d’elle » se transforme peu à peu en « pas besoin des autres ».
Paradoxalement, accueillir avec lucidité la conscience du vide permettra de donner un lieu intérieur à son désir. Et la capacité d’aspirer Continuer la lecture
LA PEUR D’ÊTRE ABANDONNER
La plus petite avancée sur le chemin de solitude peut déclencher la peur panique d’être abandonné, c’est l’indice qu’on l’a déjà été. Bien des parents tombent des nues quand l’enfant devenu adulte, leur révèle un sentiment abyssal d’abandon dans telle ou telle circonstance familial.
A regarder l’omniprésence de la peur de l’abandon, je pense que la majorité des adultes, malgrè leur bonne volonté, leurs bonnes intentions, passe à côté du vécu de leur enfants.
Pourquoi ?
D’une part, ceux-ci n’ont pas de mots pour le décrire et apprennent vite à ne rien montrer; D’autre part, comment les parents le devineraient-ils, y seraient-ils sensibles quand eux mêmes ont étouffé depuis longtemps un vécu similaire. On n’est pas sourd et aveugle à ce que vit son enfant sans être soi même sourd et aveugle à ce qu’on a soi même vécu enfant.
c’est jusque là qu’il nous faut chercher la racine du besoin de fusionner : le manque aujourd’hui est insupportable parce que l’abandon d’hier à été dévastateur.
Dans le pire des cas, on en est « mort » on fera tout pour combler le manque actuel plutôt que d’avoir à revisiter l’abîme que l’on porte en soi
De nombreux couples, familles, amitiés sont ainsi parasités par une peur dont le ou les partenaires, souvent, ne sont pas même conscients. L’angoisse de perdre autrui, de manquer de lui, alimente alors des comportements de possessivité et de dévoration.
Quand on s’en aperçoit et qu’on désir sincèrement sortir de cet emprisonnement, que l’on veut grandir , devenir capable d’assumer ce manque, la tâche parait gigantesque.
D’expérience, je ne crois pas que l’on puisse y arriver seul. Le vertige est tel que l’existence de quelques autres bien différenciés constitue l’unique repère. Eux sont bien là, la relation avec eux tient bon, on peut descendre dans ce vide redoutable qui n’est pas le leur.
Donc au moment même ou l’humain prend conscience de son manque (symboliquement le vide en soi ou encore une côte en moins) arrive Continuer la lecture
La famille vie des changements historiques et sociaux de son temps. Elle vit des crises et cherche des solutions
Les systèmes humains, forment une dynamique qui est formée de personnes en interaction intense, de telle sorte que le comportement d’un membre affecté et, est affecté par celui de l’autre.
Tout système favorise d’autres arrangements, ce que nous nommons des sous-systèmes. Par exemple, Continuer la lecture