Psychologie – Sophrologie – Hypnose – Développement relationnel – Préparation mentale – Méditation – Psychonutrition & Coaching minceur

LYDIA BOUSQUET Psychothérapeute SAINT ALBAN-LEYSSE 73230 vous accompagne: dans vos difficultés relationnelles dans toutes les sphéres de votre vie; dans vos préparations mentales sportives et vous coach pour mincir durablement avec avec une nouvelle approche intégrative de psychonutrition. CONTACT : 06 08 57 02 50

 Psychologie – Sophrologie – Hypnose – Développement relationnel – Préparation mentale – Méditation – Psychonutrition & Coaching minceur

SYSTÈMES FAMILIAUX, SYSTÈMES COLLECTIFS ET STRESS

L’un des concepts fondamentaux de la théorie des systèmes familiaux est celui de la différenciation, définie, « comme la capacité d’être en relation émotionnelle avec les autres tout en demeurant autonome dans son fonctionnement émotionnel ».

Une personne peu différenciée « ne reconnait pas de limite émotionnelle entre elle même et les autres, ni celle qui empêche ses processus mentaux d’être submergés  par ses processus émotionnels. Elle absorbe automatiquement l’anxiété des autres et génère une anxiété considérable en elle même. » Continuer la lecture

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QU’EST-CE QUE VAUT LA VIE ?

Qu’est-ce que vaut la vie, si vous n’êtes pas fidèle à vos convictions ?

MON CHEMIN ET CE QUE LA VIE M’A APPRISE!

Une existence est faite d’éléments contradictoires. Quand on en parle, on l’air d’être devenu ondoyant. On affirme un jour le malheur, le lendemain dans un autre contexte, on dira exactement le contraire. Ce n’est qu’une apparence. Seules les circonstances ont changé. LA VIE EST UNE LIGNE CONTINUE.

Tout se tient, tout est dans tout; cela nous a constitué.

Nous sommes façonnés par notre environnement; en même temps, nous le façonnons! C’est pour moi la m^me évidence au sujet de Dieu. Il nous crée et nous le créons aussi.

Il est plus facile de se plier au circonstance que de vouloir les plier. La ligne n’est pas rompue pour autant. Les autres ne la décèle pas toujours. Elle est notre refuge intérieur. Notre permanence.

QUE TROUVE T-ON DANS CE REFUGE ?

Nos certitudes;
pour les uns la vie illimitée, Dieu, ceux que l’on a aimés qui sont partis … pour les autres le silence.

Quand l’aide arrive, on le sait, on le sent, on l’accepte. On ne peut pas faire autrement que l’accepter, de dire : c’est bien, c’est bien ça, de dire Merci; Il y a toujours une aide à notre portée.

Nous avons les clés et nous ne les voyons pas. Il faut croire aux clés. La première chose à faire, c’est d’être persuadés que nous sommes, que nous serons aidés. Si nous ne voyons que le mal, que la peine, tout ce qui est négatif, nous fermons la porte au secours, nous nous enfermons par égoïsme, par impuissance dans une coquille impénétrable et nous étouffons.

 

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LA CONFUSION DU SYSTÈME IMMUNITAIRE! Soi ou non-soi

Le présent article ne vise à expliquer ni les mécanismes par lesquels les cellules immunitaires reconnaissent les micro-organismes hostiles et les autres substances toxiques, ni comment les bataillons de cellules immunitaires sont programmés pour éliminés les envahisseurs. Ici il est question d’insister sur Continuer la lecture

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L’ENFANT DE TROP!

BRUITS, ODEURS, ÉMOTIONS, EMPATHIE, PENSÉES… Mille et une façons d’être trop !

Pendant très longtemps, j’ai vécu dans une sorte de capharnaüm. Dans une bataille insensée avec moi-même et avec tout ce qui m’entourait. Ma vie était faite de pièces qui ne s’accordaient pas entre elles, sans rapport unes avec les autres. Le seul point commun, un bouillonnement intérieur.

Je rêvais d’être calme, posée, sereine, j’étais dans l’excès, l’hyper, dans le trop. Trop de sensations, trop d’émotions, trop d’idées qui fusaient sans aucun ordre particulier. Trop de pensées qui m’emmenaient Continuer la lecture

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L’HISTOIRE DE TA VIE EST IMPORTANTE

je devrais plutôt tenter de dire ce que les rencontres, les séparations, les découvertes, les éblouissements comme les désespérances m’ont appris dans le sens de me découvrir, de me construire, d’influencer le déroulement de mon existence.

J’ai ainsi appris que la vie n’est faite que de rencontres et de séparations et qu’il nous appartient de les vivre en acceptant de nous responsabiliser face à chacune.

 

J’ai appris encore qu’il y a toujours une part d’imprévisible dans le déroulement des jours et donc qu’il m’appartenait de savoir accueillir les cadeaux inouïs ou les blessures qui peuvent surgir dans l’immensité d’un jour.

J’ai appris bien sûr à vivre au présent, à entrer de plain-pied dans l’instant, à ne pas rester enfermé dans mon passé ou me laisser envahir par des projections sur un futur trop chimérique.

J’ai appris tardivement à remercier, chaque matin, la Vie d’être présente en moi et autour de moi, à l’honorer chaque fois que cela m’est possible, à la respecter en toute occasion, à la dynamiser avec mes ressources et mes limites.

J’ai appris difficilement à m’aimer, non d’un amour narcissique ou égocentrique (même si la tentation était grande) mais d’un amour de bienveillance, de respect et de tolérance.

J’ai appris avec beaucoup de tâtonnements à me respecter en osant dire non quand je suis confronté à des demandes qui ne correspondent pas à mes possibles ou à ma sensibilité.

J’ai appris avec enthousiasme que la beauté est partout, dans le vol d’un oiseau, comme dans le geste d’un enfant pour tenter de capter le vol d’un papillon ou encore dans le sourire d’un vieillard qui croise mon chemin.

J’ai appris patiemment que nul ne sait à l’avance la durée de vie d’un amour et que toute relation amoureuse est une relation à risques. Des risques que j’ai pris.

J’ai appris douloureusement que je n’avais pas assez pris de temps pour regarder mes enfants quand ils étaient enfants, que j’aurais dû savoir jouer et rire avec eux, plus souvent et surtout chaque fois qu’ ils me sollicitaient, que je n’avais pas su toujours les entendre et les accueillir dans leurs attentes profondes et surtout que j’avais trop souvent confondu mon amour pour eux avec quelques-unes de mes peurs tant je voulais le meilleur pour eux, tant je désirais les protéger des risques (que j’imaginais) de la vie.

J’ai appris avec beaucoup de surprise que le temps s’accélérait en vieillissant et qu’il était important non pas d’ajouter des années à la vie, mais de la vie aux années.

J’ai appris malgré moi que je savais beaucoup de choses avec ma tête et peu de choses avec mon coeur.

J’ai appris que je pouvais oser demander si je prenais le risque de la réponse de l’autre aussi frustrante ou décevante qu’elle puisse être, que je pouvais recevoir sans me sentir obligé de rendre, que je pouvais donner sans envahir l’autre et refuser sans le blesser.

J’ai appris, sans même le vouloir, que j’avais des besoins et qu’il ne fallait pas les confondre avec des désirs.

J’ai appris avec soulagement que je pouvais désapprendre tout l’inutile dont je me suis encombré pendant des années.

J’ai appris joyeusement à planter des arbres, c’est le cadeau le plus vivant que je peux faire jusqu’à ma mort à cette planète merveilleuse qui a accueilli mes ancêtres et surtout mes géniteurs.

J’ai appris doucement à recevoir le silence et à méditer quelques minutes chaque jour pour laisser aux vibrations de l’univers la possibilité de me rejoindre et de m’apprivoiser encore un peu.

Oui, j’ai appris beaucoup dans ma vie et pourtant je cherche encore l’essentiel.

Jacques Salomé est l’auteur de: À qui ferais-je de la peine si j’étais moi-même? aux Éditions de l’Homme

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COMMENT GUÉRIR NOS RELATIONS SENTIMENTALES

PROJECTION

Les relations sentimentales sont une cause majeur de souffrance. Chacun d’entre nous expérimente, à travers elles, les plus grandes joies mais aussi les peines les plus profondes: trahison, abandon, colère, haine, désillusions, sentiment d’échec…

Mais dans une relation, quand il y a de la souffrance, il ne peut pas y avoir de Vrai Amour : l’amour vrai est inconditionnel. Ou bien l’amour est joie et bonheur ou bien il n’est pas l’Amour Inconditionnel.

Quand il y a de la souffrance, c’est « l’amour de l’égo ». Ce que nous ressentons dans nos relations sentimentales, ce que nous croyons être de l’amour, Continuer la lecture

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LE SILENCE DANS LE COUPLE

Le silence d’un couple qui partage un banc, qui dîne en tête à tête peut exprimer la profondeur d’une communion qui n’a plus besoin de paroles.

A l’inverse, ils peuvent ne plus être capable de parler.

LE PREMIER SILENCE EST UN SILENCE DE COMMUNION ET LE DEUXIÈME EST SILENCE DE RUPTURE.

Ces deux formes opposées portent chacune un message très fort.

Le premier dit : JE T’AIME
le deuxième dit : C’EST FINI DE NOTRE AMOUR

Communion et contemplation ne peuvent pas être séparés, elles vont de pair.
Pour communier vraiment avec une autre personne, on doit la connaître et rester auprès d’elle en silence, l’écouter, la regarder avec amour.

Le véritable amour et la véritable amitié vivent toujours dans cette réciprocité, cette coopération de regards, silences intenses, éloquents, remplis de respect et de vénération, afin que la rencontre soit vécue en profondeur de façon personnelle et non pas superficielle.

Voilà la véritable anticipation du silence divin que nous sommes tous appelés à connaître.

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QU’EST CE QUE LA SANTÉ?

La santé est présente et nous obsède de plus en plus. Mais qu’est ce que la santé ?

La santé est vue comme l’état naturel de tout quand l’interprétation est laissée à un esprit sain qui ne perçoit pas l’attaque sur qui que ce soit .

La santé est le résultat du renoncement à toute tentative pour utiliser le corps sans amour.

La santé est le commencement de la façon correcte de voir la vie sous la seul direction de l’Enseignant qui connaît ce qu’est la vie, étant la voix, voie pour la vie même.

Le corps est le moyen de communication de l’amour, la joie, la vie.

Pour être en santé, il est emportant de consulter le cœur qui a deux voix,

  1. celle de l’amour de la vie
  2. Celle de la peur de la vie

La joie est l’opposée de la dépression.

Nous comprenons mieux le « connait toi toi même, tu connaitras l’univers des Dieux ».

Ma prière du jour

Que chacun puisse rencontrer l’enseignement qui réintègre l’amour, la paix et la joie .
Que les perceptions du corps soient le reflet de la juste interprétation de votre esprit sain pour la santé de de l’humanité, des animaux et de notre chère planète unie au cosmos.

 

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QUE NOUS APPREND LA FÊTE DE PÂQUES?

Quand j’étais petite, j’ai vu un film qui m’a profondément touchée, La tunique, c’était la vie de Jésus jusqu’à sa résurrection. Je me souviens d’avoir été traumatisée au point de ne pas pouvoir dormir. Toute la nuit nous avons jouer avec mes sœurs aux cartes pour ne pas nous laisser envahir par la tristesse, tant nous avions trouvé horrible d’avoir assister a la mort d’un homme aussi bon et rempli d’un pouvoir puissant d’amour et de guérison et ne comprenant pas pourquoi il ne se défendait pas. Pourquoi il a laissé faire et a enduré toutes ses souffrances.

Affiche du film la Tunique

Depuis, même si trop souvent je me suis réfugier dans les forces de l’égo, si j’ai rejeté la religion en jetant le bébé avec l’eau du bain par ignorance, un appel puissant a fait de moi un vif point d’interrogation;  Qu’est ce que tout cela cherche à nous dire, nous apprendre? Quelle sagesse, force se cache dans les enseignements spirituels, les messages mystiques qui nous sont révélés?

Aussi je voudrais vous partager le Texte de Marianne Williamson qui nous parle de;

La lumière de Jésus

La vie de Jésus est un fait aussi historique que mystique. Jésus est un vecteur intemporel de force spirituelle, il ne s’agit pas uniquement d’un homme qui à vécu il y a deux mille ans, mais également d’une réalité psychique dont nous faisons tous à chaque instant l’expérience. Sa naissance représente notre propre renaissance, son ministère notre propre cheminement et sa mort et sa résurrection symbolisent Continuer la lecture

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POURQUOI TANT DE DÉPRESSION ?

Au cœur de notre société existe un aspirateur spirituel responsable d’une tristesse diffuse. Notre civilisation est imprégnée d’une vision du monde déprimante. Une interprétation mécanique, matérialiste, qui nous apprend à considérer les gens comme des machines de guerre et non comme des êtres multidimensionnels. Comme des corps, et non comme des esprits. Cet état d’esprit qui se répand de plus en plus dans le monde, cette  pensée dualiste, séparatiste, déprécie ce que nous sommes réellement. Chaque jour, tout au long de notre vie, nous nous éloignons de notre véritable nature.

Vivre dans ce monde est en soi un traumatisme émotionnel. Mais cette déconnexion des autres, de soi-même, de la nature et des forces cosmiques universelles, au sens de toute réalité transcendante, n’est pas due à un évènement spécifique brutal.

C’est au contraire le traumatisme continuel d’une vie à ce point déconnectée de l’amour. Nous ne sommes donc pas seulement déprimés à cause d’une difficulté spécifique, nous ne sommes pas seulement déprimés en tant qu’individus, notre dépression est d’ordre collectif! et le collectif à le pouvoir de re naitre de cette aliénation. Continuer la lecture

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