LYDIA BOUSQUET Psychothérapeute SAINT ALBAN-LEYSSE 73230 vous accompagne: dans vos difficultés relationnelles dans toutes les sphéres de votre vie; dans vos préparations mentales sportives et vous coach pour mincir durablement avec avec une nouvelle approche intégrative de psychonutrition. CONTACT : 06 08 57 02 50
LA VIE EST UN LONG FLEUVE TRANQUILLE : Le mythe de l’amour sans conflit
Qui ne rêve pas d’un couple tellement harmonieux qu’il n’y aurait jamais d’éclat, de mot plus haut que l’autre, de crispations…? Les choses couleraient naturellement, sans vague, sans tempête ni courant fort. Un couple qui résoudrait intuitivement tous ces désaccords, sans heurt: « Nous nous aimons tellement que nous arrivons à être toujours d’accord. » Certains vont en effet jusqu’à ce persuader de cela et affirmer que leur complicité est telle qu’ils se comprennent sans même se parler tout le temps. Nous sommes nombreux à fantasmer sur ce type de couple. Vous en rêvez surement aussi, et pourtant , vous constatez que cela ne fonctionne pas toujours si bien dans votre quotidien…
Avant de comprendre cette tension entre un amour « parfait » et la réalité, posez-vous Continuer la lecture →
On peut aimer une amie comme une sœur, mais on peut aussi se détesté comme des frères ennemis.
Nous pouvons considérer que tout commence par un sentiment de trahison, qui s’il se calme pendant de nombreuses années, risque de resurgir violemment Continuer la lecture →
Nos interactions forment l’enjeu du tribunal moral
Le discours sur les intentions engendre un pataquès inextricable, où le fait d’imputer directement à nous même ou à nos proches ce qui nous fait mal revient à augmenter la souffrance.
Cette contradiction aggrave hyperboliquement la souffrance, puisqu’elle implique que nous ne pouvons pas en même temps être liés par des liens d’affections (amis, amants, parents, frères, sœurs, etc) alors qu’entre nous, il se passe « ça, l’anomalie, l’accident dont la conscience ne peut pas plus douter que de sa propre souffrance » (le grain de sable qui désorganise le système, la goutte d’eau qui fait déborder le vase, l’opinion différente etc).
Par exemple :
Dire à une personne qu’elle se trompe sur ce qu’elle est, sur ce qu’elle sent, sur ce qu’elle veut, c’est la destituer de son statut de première personne, ce qui reviens ni plus ni moins à dire JE à sa place. Cette substitution à la conscience de soi rend littéralement fous les humains; elle revient à leur révéler qu’ils n’ont aucun contrôle sur leur identité. Il y a là une telle violence que ceux qui la commettent, c’est à dire presque tout le monde, devraient être condamnés à des pénalités de silence.
Mais condamnés par qui ?
Par ceux d’en face, qui font la même chose ?
Pour résoudre cette contradiction entre son objet d’amour et sa souffrance, surtout lorsque cette contradiction est très frontale, très simplifiée, la conscience individuelle incline tout naturellement à s’attaquer à l’image de l’autre: voilà pourquoi elle parle à sa place et lui explique ses intentions à lui (l’autre), du point de vue de sa souffrance à elle (conscience).
Tel est l’enjeu du tribunal moral, où il nous arrive d’adopter l’attitude de juges les uns envers les autres. Avant d’aborder les notions de non jugement, il est indispensable d’avoir admis ceci, qui me semble être l’un des piliers d’une éthique des interactions:
La souffrance Précède l’évaluation.
En d’autres termes, les humains ne se posent pas la questions « du bien et du mal ». Le problème qu’ils rencontrent régulièrement est plutôt :
Pourquoi ai-je mal ?
Où est le mal ?
Il semble donc essentiel de ne pas préjuger de l’intention de l’autre, mais de regarder la brèche ou est venue s’engouffrer notre souffrance.
Le nombres de personnes qui me consulte, parce qu’ils se pensent trop sensibles invitent à une étude de la question.
Comment peut-on se blâmer d’être « trop » sensible, alors que c’est par là que l’existence révèle tout son relief et que la beauté de la vie prend son sens ?
Ne serait-il pas plus fécond de considérer que tous les individus humains sont sensibles, même s’ils ne le sont pas aux mêmes choses ?
Ne sommes-nous pas des êtres si extraordinairement complexes qu’aucune sciences n’est encore parvenue à nous cerner ?
Nous sommes susceptibles d’être étudies par notre morphologie, notre physiologie, notre neurologie, notre chimie, notre psychologie, notre génétique, mais aussi du point de vue de mouvements historiques, sociologiques, linguistiques, symboliques , astrologique et ainsi de suite à perte de vue. Du fait de leur nombre et de leur diversité, les interactions qui définissent l’humanité font de chaque individu un système qui évolue en permanence. Tout comme notre système solaire. Or le principe d’un système est qu’une modification d’un des éléments engendre des changements chez tous les autres, qui en retour agissent sur lui.
Par exemple: lorsqu’une contrariété professionnelle nous chagrine dans l’après midi, il est difficile d’empêcher qu’elle n’ait des effets le soir, sitôt qu’une chambre ou une vaisselle à ranger font déborder le vase. Cela montre que les systèmes sont d’autant plus instables que nos interactions sont très nombreuses, très hétérogènes et se déploient dans toutes les dimensions. Comme elles ne cessent d’interférer entre elles, elles engendrent des anomalies et des effets-retours parfois productifs, parfois destructeurs: le système tout entier peut être désorganisé par presque rien.
Si nous voulons commencer à nous comprendre nous-même, il vaut donc la joie de recourir à tous les moyens dont nous disposons, qu’ils soient rationnels ou mystiques pour aborder les systèmes.
Il n’y a pas de règle absolue , seules des portes qui ouvrent à une meilleure connaissance de soi.
On peut avoir recours au subconscient qui nous manipulent à 95% avec la sophrologie, l’hypnose, la psychologie énergétique, la répétition. Ces connaissances permettent de déprogrammer un système défaillant, pour reprogrammer une dynamique plus en adéquation avec qui nous sommes vraiment.
L’enfer, c’est toujours de faire les choses en s’en foutant C’est de vivre en pensant à autre chose L’enfer c’est de ne jamais être là, mais toujours un peu en avant ou après L’enfer c’est de regretter quelque chose et d’en attendre une autre C’est de ne pas écouter l’autre quand on vous parle, parce qu’on s’emmerde partout et qu’on n’a pas de raison que ça s’arrête L’enfer, c’est la vie gâchée à attendre la vie L’enfer c’est la pensée gâchée à penser à autre chose. C’est là ou l’on voit les choses interminables. On l’on voit le temps passer. Le temps passe toujours trop lentement, ou les journée sont interminables comme des siècles.
Dès que l’on ne voit plus le temps passer, c’est qu’on est passé à l’intérieur. Là, tout s’allume, tout s’illumine
Le royaume, c’est un état que l’on atteint quand on ne voit pas le temps passer C’est comme la fête ou l’amour mais transférer à tous les moments de la vie.
Vous devez prendre conscience des dangers qu’il y a à rester longtemps sous l’emprise de pensées, d’émotions et de sentiments négatifs. On ne peut éviter d’éprouver des déceptions, des chagrins, de l’irritation, mais il faut tout faire pour ne pas rester là, car on finit par être complètement ligoté, submergé. Vous devez profiter du laps de temps où il est encore facile de vous dégager, car vous n’êtes pas de taille à lutter.
Se débattre dans l’obscurité n’a jamais fait jaillir la lumière : il faut sortir de cette situation. Si vous restez longtemps dans le mécontentement, la jalousie, la rancune, la colère, ce sont eux qui finiront par avoir le dessus et par vous détruire. Il faut tout de suite essayer d’échapper à ces états, aller plus haut et les remplacer par des pensées et des sentiments positifs, c’est ainsi que vous serez sauvé.
Commencez la journée en vous disant que vous allez vivre avec amour, manger, respirer avec amour. Vous pensez que vous savez tout cela…non vous ne le savez pas. Quand vous commencerez à comprendre vraiment, avec tout votre être, ce qu’est de vivre avec amour, toute votre vie sera changée. L’amour jaillira sans arrêt du matin au soir, et m^me quand vous dormirez.
Vivre avec amour, c’est vivre dans un état de conscience qui harmonise tous les actes de la vie, qui maintient l’être dans un parfait ^état d’équilibre, un état de conscience qui est une source de joie, de force, de santé.
Vivre avec l’amour c’est savoir que le seul problème est la séparation et que la solution a se problème est l’union, l’unité, le tout.
Tous veulent être appréciés et reconnus pour ce qu’ils font, et s’il ne le sont pas, ils sont déçus, aigris, il se rongent. Eh bien, voilà une faiblesse dont il faut se débarrasser. Du moment ou l’on est conscient que son activité est bénéfique, désintéressée, lumineuse, et que l’on a confiance dans les lois cosmiques, on sait qu’un jour ou l’autre on recevra l’estime et la place que l’on mérite.
Si il y a une chose à laquelle vous devez croire, c’est à l’existence des lois de l’univers. UNI VERS.
Vous prononcez un mot, vous faites un geste, vous avez un désir, une pensée : aussitôt ils sont classés, et il produisent des résultats. C’est sur ces lois qu’ils faut compter, car tout peut changer autour de vous, sauf ces lois: elles vous enverront un jour ou l’autre exactement ce que vous méritez, d’après la façon dont vous aurez travaillé. Ne comptez dont sur rien d’autre que votre travail.
Et votre travail, c’est de cultiver votre force intérieur. Pour dépasser son égo, il faut d’abord qu’il soit solide. Pour s’oublier il faut être très fort!
Écoutez vos symptômes, ils sont porteurs de messages, des jeux de piste vers le JE RÉEL Chaque maladie concrète ou potentielle est le témoin de notre état. La maladie c’est la masse conflictuelle qui n’a pas été réglée. Parfois elle est le seul moyen de nous faire REVOIR la réalité et enfin sortir de l’illusion.
La thérapie à pour but de sortir du conflit OUI MAIS pour aller vers le OUI ET et enfin pouvoir dire un OUI plein !
Les relations sentimentales sont une cause majeur de souffrance. Chacun d’entre nous expérimente, à travers elles, les plus grandes joies mais aussi les peines les plus profondes: trahison, abandon, colère, haine, désillusions, sentiment d’échec…
Mais dans une relation, quand il y a de la souffrance, il ne peut pas y avoir de Vrai Amour : l’amour vrai est inconditionnel. Ou bien l’amour est joie et bonheur ou bien il n’est pas l’Amour Inconditionnel.
Quand il y a de la souffrance, c’est « l’amour de l’égo ». Ce que nous ressentons dans nos relations sentimentales, ce que nous croyons être de l’amour, Continuer la lecture →
L’EGO N’EST QUE PETIT MOT DE TROIS LETTRES QUI PEUT DETRUIRE UN GRAND MOT DE HUIT LETTRES APPELÉ RELATION
D’une façon ou d’une autre, chaque relation que fait l’égo est fondée sur l’idée qu’en se sacrifiant lui-même, il devient plus gros. Le sacrifice qu’il considère comme une purification, est en fait la racine de son amer ressentiment. Car il préfèrerait attaquer directement, et éviter de retarder ce qu’il veut réellement. Or l’égo reconnait la « réalité » telle qu’il la voit, et il admet que personne ne pourrait interpréter une attaque directe comme de l’amour. Or rendre coupable, c’est une attaque directe, même si cela n’en a pas l’air. Car les coupables s’attendent à l’attaque, et l’ayant cherchée, c’est ce qui les attire.
Dans les relations dysfonctionnelles, l’attraction de ce que tu ne veux pas Continuer la lecture →
ACCEPTER NOS MASQUES POUR GUÉRIR DE NOS BLESSURES INTÉRIEURES
D’après le concept de lise Bourbeau, nous portons tous des masques et ces derniers sont le reflet de nos blessures intérieures.
Nos interactions dans nos relations parfois réveillent nos blessures . Selon cette étude, nous avons 5 blessures essentielles que nous portons a différents niveaux.
LE REJET
L’ABANDON
L’HUMILIATION
LA TRAHISON
L’INJUSTICE
LE REJET
Lorsque votre blessure du rejet est activée, vous mettez le masque de fuyant. Celui-ci vous porte à vouloir fuir la situation ou la personne avec qui vous croyez avoir du rejet, par peur de paniquer et vous sentir impuissant. Ce masque peut aussi vous convaincre de vous sentir invisible en vous retirant à l’intérieur de vous-même, en ne faisant Continuer la lecture →
COMPRENDRE CELA COMMENCE PAR COMPATIBILITÉ INTERPERSONNELLE DU COUPLE AU GROUPE ET INVERSEMENT
Car un couple c’est un ensemble d’individus. La base, c’est l’indice sociopsychologique de la cohésion d’un groupe qui reflète la possibilité d’une communication sans conflit et la concertation au cours des activités communes. Dans les trois besoins essentiels.
APPARTENIR A UN GROUPE EN GÉNÉRAL
La différence entre un groupe et un regroupement tient au fait que les membres d’un groupe ont des liens affectifs entre eux. Ces liens se créent à travers des expériences significatives que les membres vivent en commun. Dans la phase de formation, il peut s’avérer difficile pour le groupe de fonctionner, avant que les liens se soient réellement tissés entre les hommes et les femmes. « A savoir que le mot liens, ne signifient pas dans cette dynamique de groupe, ne recherche pas forcement une relation amoureuse ». Certains schémas de comportement inhérents à la « dynamique » d’un groupe peuvent survenir et nuire à l’établissement d’un climat sain, productif et satisfaisant.
Pour un groupe nouvellement constitué, le pouvoir et la prise de décision représentent deux des facteurs les plus délicats à gérer. En effet, les groupes peuvent littéralement s’embourber dans le processus décisionnel et tourner en rond. Cette situation est généralement plus marquée par manque de cadre, de repère. Les évènements dérangeants qui surviennent durant cette phase peuvent aller jusqu’à provoquer l’éclatement du groupe.
Cependant, les groupes qui passent à travers cette étape peuvent s’avérer des plus efficaces et des plus satisfaisants pour leurs membres.