Psychologie – Sophrologie – Hypnose – Développement relationnel – Préparation mentale – Méditation – Psychonutrition & Coaching minceur

LYDIA BOUSQUET Psychothérapeute SAINT ALBAN-LEYSSE 73230 vous accompagne: dans vos difficultés relationnelles dans toutes les sphéres de votre vie; dans vos préparations mentales sportives et vous coach pour mincir durablement avec avec une nouvelle approche intégrative de psychonutrition. CONTACT : 06 08 57 02 50

 Psychologie – Sophrologie – Hypnose – Développement relationnel – Préparation mentale – Méditation – Psychonutrition & Coaching minceur

LA FRATRIE A L’ÉPREUVE DU TEMPS

On peut aimer une amie comme une sœur, mais on peut aussi se détesté comme des frères ennemis.

Nous pouvons considérer que tout commence par un sentiment de trahison, qui s’il se calme pendant de nombreuses années, risque de resurgir violemment Continuer la lecture

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LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND – Enjeu du tribunal moral

LE BON, LA BRUTE OU LE TRUAND

LE BIEN, LE FORT ET LE MAL

Nos interactions forment l’enjeu du tribunal moral

 
Le discours sur les intentions engendre un pataquès inextricable, où le fait d’imputer directement à nous même ou à nos proches ce qui nous fait mal revient à augmenter la souffrance.
Cette contradiction aggrave hyperboliquement la souffrance, puisqu’elle implique que nous ne pouvons pas en même temps être liés par des liens d’affections (amis, amants, parents, frères, sœurs, etc) alors qu’entre nous, il se passe « ça, l’anomalie, l’accident dont la conscience ne peut pas plus douter que de sa propre souffrance » (le grain de sable qui désorganise le système, la goutte d’eau qui fait déborder le vase, l’opinion différente etc).
 
Par exemple :
Dire à une personne qu’elle se trompe sur ce qu’elle est, sur ce qu’elle sent, sur ce qu’elle veut, c’est la destituer de son statut de première personne, ce qui reviens ni plus ni moins à dire JE à sa place. Cette substitution à la conscience de soi rend littéralement fous les humains; elle revient à leur révéler qu’ils n’ont aucun contrôle sur leur identité. Il y a là une telle violence que ceux qui la commettent, c’est à dire presque tout le monde, devraient être condamnés à des pénalités de silence.
 
Mais condamnés par qui ?
Par ceux d’en face, qui font la même chose ?
 
Pour résoudre cette contradiction entre son objet d’amour et sa souffrance, surtout lorsque cette contradiction est très frontale, très simplifiée, la conscience individuelle incline tout naturellement à s’attaquer à l’image de l’autre: voilà pourquoi elle parle à sa place et lui explique ses intentions à lui (l’autre), du point de vue de sa souffrance à elle (conscience).
Tel est l’enjeu du tribunal moral, où il nous arrive d’adopter l’attitude de juges les uns envers les autres. Avant d’aborder les notions de non jugement, il est indispensable d’avoir admis ceci, qui me semble être l’un des piliers d’une éthique des interactions:
 
La souffrance Précède l’évaluation.
 
En d’autres termes, les humains ne se posent pas la questions « du bien et du mal ». Le problème qu’ils rencontrent régulièrement est plutôt :
 
Pourquoi ai-je mal ?
Où est le mal ?
 
Il semble donc essentiel de ne pas préjuger de l’intention de l’autre, mais de regarder la brèche ou est venue s’engouffrer notre souffrance.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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LE CADEAU

PRENDRE CONSCIENCE DE SON HYPERSENSIBILITÉ EST UN CADEAU

Beaucoup d’entre nous ignorent ou nient leur hypersensibilité. Certains vont jusqu’à refouler derrière une froideur, une distanciation glaçante. Ils ne sont pas en paix avec eux-mêmes. Ils trichent et finissent, tôt ou tard par s’effondrer.

Chaque individu est singulier, nos filtres cérébraux n’ont pas la même puissance. Chez certains, le maillage est très fin, les filtres sont très performants, parfois trop. Et beaucoup d’éléments, d’informations leurs restent imperceptibles. Certes ils ne sont pas parasités par ces éléments qui détournent de la tâche effectuée, ils sont capables d’une concentration exceptionnelle. Mais d’une certaine manière, ils sont sous-informés. Leur vie risque d’être monotone.

Chez d’autres, appelés hypersensibles, le maillage est plus souple et le tri moins rigoureux. De ce fait, ils reçoivent une quantité d’informations provenant de différentes sources, que la majorité ne perçoit pas, mais auxquelles ils réagissent. On dira à tort qu’ils surréagissent.

  • Ils ressentent plus fort les bruits, les odeurs, le froid, la chaleur et jusqu’aux moindre dysfonctionnement de leur organisme. Ils perçoivent toutes sortes de signaux d’ordre de l’émotionnel et leur répondent avec une certaine intensité. Ils ont les larmes aux yeux ou se mettent en colère, ou encore explose de joie sans que leur vis à vis, qui n’a rien perçu d’extraordinaire, comprenne cette réaction. Ce flux important à également un impact au niveau cognitif. Suralimentée en informations, en données, leur intelligence est singulière, plus intuitive.

  • Ils « captent » une situation, une solution, sans toujours savoir comment ils l’ont perçue et comprise, et sans jamais passer par les chemins de la logique conventionnelle

COMMENT FAIRE POUR TROUVER UN NOUVEAU GPS ADAPTÉ POUR S’ORIENTER DANS LA VIE ?

Cela demande une certaine discipline:
Apprendre à établir la distinction entre ce que l’on ressens et la manière dont il convient d’agir à partir de la chance de ressentir. Rétablir l’équilibre entre les antennes surdéveloppées et les filtres atrophiés, en conservant une belle sensibilité qui donne un caractère enrichissant. Cela fait, on réussit à faire la paix avec soi et on se fiche la paix.

VOICI UN EXERCICE POUR T’AIDER DANS CETTE APPROCHE:

Dresse la liste de ce qui est trop pour toi. Certaines sensations comme le bruit ou la lumière, des émotions qui te submergent, une empathie excessive ? Trop de distance, de froideur, trop d’amour…

Identifier tous les trop est un premier pas.

Une fois que tu as reconnu ces trop? tu peux commencer à faire la paix avec eux, ou du moins à t’adapter à eux.
Si les pulls en laine qui pique ou les cols de chemise sont un problème pour toi, note le et évite-les. C’est simple!

CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Nombreux sont les hypersensibles, plus rares sont ceux qui se reconnaissent sous ce vocable chargé de préjugés, associé, à tort, à une forme de faiblesse, de fragilité.
  • Se reconnaître hypersensible est le fruit d’un travail. Son point de départ : établir le lien entre ces phénomènes divers, parfois étranges, parfois gênant et invalidants ou bien encore exaltants, qui tissent notre vie.
  • L’hypersensibilité est un phénomène complexe, subtil et déconcertant, qui prend différentes formes. Il y a sans doute autant de formes d’hypersensibilité que d’individus hypersensibles.

La reconnaissance de son hypersensibilité est un cadeau extraordinaire qui change la vie. Tout fait sens, tout deviens moins pénible, moins douloureux.

Parcours ta vie en toute objectivité avec le prisme de l’hypersensibilité.
Met-il en lumière certains phénomènes que tu avais du mal à comprendre et dont tu ne voyais pas le tronc commun ?
Ce simple passage en revue, comme un observateur extérieur, peut-être libérateur. Tu comprend qui tu es. pleinement entier

Tu vois que tu peux entamer le chemin, que tu n’es pas à part mais une part entière de l’univers. Un faisant parti du tout.

 

 

 

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COMMENT GUÉRIR NOS RELATIONS SENTIMENTALES

PROJECTION

Les relations sentimentales sont une cause majeur de souffrance. Chacun d’entre nous expérimente, à travers elles, les plus grandes joies mais aussi les peines les plus profondes: trahison, abandon, colère, haine, désillusions, sentiment d’échec…

Mais dans une relation, quand il y a de la souffrance, il ne peut pas y avoir de Vrai Amour : l’amour vrai est inconditionnel. Ou bien l’amour est joie et bonheur ou bien il n’est pas l’Amour Inconditionnel.

Quand il y a de la souffrance, c’est « l’amour de l’égo ». Ce que nous ressentons dans nos relations sentimentales, ce que nous croyons être de l’amour, Continuer la lecture

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L’EGO DANS NOS RELATIONS

L’EGO N’EST QUE PETIT MOT DE TROIS LETTRES QUI PEUT DETRUIRE UN GRAND MOT DE HUIT LETTRES APPELÉ RELATION

 

D’une façon ou d’une autre, chaque relation que fait l’égo est fondée sur l’idée qu’en se sacrifiant lui-même, il devient plus gros. Le sacrifice qu’il considère comme une purification, est en fait la racine de son amer ressentiment. Car il préfèrerait attaquer directement, et éviter de retarder ce qu’il veut réellement. Or l’égo reconnait la « réalité » telle qu’il la voit, et il admet que personne ne pourrait interpréter une attaque directe comme de l’amour. Or rendre coupable, c’est une attaque directe, même si cela n’en a pas l’air. Car les coupables s’attendent à l’attaque, et l’ayant cherchée, c’est ce qui les attire.

Dans les relations dysfonctionnelles, l’attraction de ce que tu ne veux pas Continuer la lecture

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POURQUOI TANT DE DÉPRESSION ?

Au cœur de notre société existe un aspirateur spirituel responsable d’une tristesse diffuse. Notre civilisation est imprégnée d’une vision du monde déprimante. Une interprétation mécanique, matérialiste, qui nous apprend à considérer les gens comme des machines de guerre et non comme des êtres multidimensionnels. Comme des corps, et non comme des esprits. Cet état d’esprit qui se répand de plus en plus dans le monde, cette  pensée dualiste, séparatiste, déprécie ce que nous sommes réellement. Chaque jour, tout au long de notre vie, nous nous éloignons de notre véritable nature.

Vivre dans ce monde est en soi un traumatisme émotionnel. Mais cette déconnexion des autres, de soi-même, de la nature et des forces cosmiques universelles, au sens de toute réalité transcendante, n’est pas due à un évènement spécifique brutal.

C’est au contraire le traumatisme continuel d’une vie à ce point déconnectée de l’amour. Nous ne sommes donc pas seulement déprimés à cause d’une difficulté spécifique, nous ne sommes pas seulement déprimés en tant qu’individus, notre dépression est d’ordre collectif! et le collectif à le pouvoir de re naitre de cette aliénation. Continuer la lecture

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CONNEXION ET SPIRITUALITÉ

La spiritualité est la vie, la base de notre conscience? Pensées tournée vers le miracle avec le filtre de l’amour plutôt que le filtre du mental de la peur.

LE PARADIS EST UNE CONSCIENCE DE NOTRE UNITÉ

Ce qui est difficile, c’est d »apprendre la pensée juste. L’amour est une onde de cette pensée juste.

Quand quelque chose arrive avec raison, cela ne veut pas dire que c’est une bonne raison et qu’il ne faut pas s’en occuper.

Lorsque nous observons, nous comprenons que chaque situation est relation.

  1. Action associée à réaction donnent KARMA. Qu’est-ce que le karma, c’est la possibilité de l’expiation; On regarde toutes nos erreurs pour les admettre, on regarde nos propres souffrances, nos imperfections liées au passé pour les transcender une fois la prose de conscience de l’impact sur nos relations.

La vie est toujours prête à tout recommencer.

On ne peut pas aller vers Dieu, l’essence cosmique la force supérieure, quelque soit le nom qu’on lui donne puisqu’il n’est pas mesurable, si d’autres personnes ne sont pas impliquées.

La clé et la personne en face de soi. On y rentre à deux

JUGE = SÉPARATION = EGO (L’EGO est la croyance en la séparation)

Chaque personne que nous rencontrons, est une chance donnée par une loi divine. Chaque rencontre représente deux âmes réunies et une opportunité de croissance maximale.

Plusieurs types de rencontres:

  1. RENCONTRE FORTUITE : A chaque fois que l’on rencontre quelqu’un on rencontre notre représentant.
  2. RENCONTRE PLUS LONGUE : Le succès d’une relation n’est pas déterminée par la proximité. Nous portons toutes nos relations en nous. Le fardeau est dans l’esprit. Le jugement sur soi ou sur les autres.

L’EGO EST UN GLOUTON, IL VEUT JUSTE OBTENIR

LE POUVOIR C’EST DE DONNER

L’INTENTION C’EST DE LA MANIPULATION, SANS INTENTION C’EST LE POUVOIR DE L’AMOUR

TOUS CEUX QUE NOUS RENCONTRONS SONT SOIT NOTRE SOUFFRANCE, SOIT NOTRE SALUT.  L’IMPORTANT EST DE NOUS RAPPELER DE QUI NOUS SOMMES ET QUAND NOUS NOUS RAPPELONS, NOUS NOUS SOUVENONS DE QUI EST L’AUTRE. LA EST NOTRE SALUT, NOUS SOMMES TOUTES ET TOUS FILLES ET FILS DE L’UNIVERS, L4ESPRIT SAIN EST NOTRE MÉDIATEUR.

LA SEULE CHOSE FONT ON PEUT ÊTRE SAUVÉ, C’EST DE NOTRE PROPRE FOLIE !

LA VRAIE QUESTION A SE POSER EST :

Est-ce que vous donnez tout ce que vous avez dans cette relation?
Le problème n’est pas la situation, mais qui je suis dans cette situation. Nous devons aller vers le fonctionnement sain, comme la vie nous le montre constamment tout collabore. La terre n’est pas séparée du ciel tout comme le cœur n’est pas séparé du cerveau.

Le cancer est le fonctionnement d’une cellule qui ne veut pas collaborer, coopérer avec les autres cellules. C’est la maladie de notre planète.
Nos cellules savent exactement quoi faire. Il est surprenant dans notre société que de plus en plus de personnes s’inquiètent de ce qu’il mettent dans leurs intestins, et selon moi cette inquiètude provient de l’amour de la vie juste, mais qu’ils ne s’inquiètent pas de l’ alchimie médicamenteuse.

Depuis plusieurs années, je constate que le complexe médical et pharmacologique à médicalisé le désespoir humain normal. Perdre quelqu’un est douloureux mais ce n’est pas une maladie mentale.

Les pilules vous signifiant un apaisement sont une terrible escroquerie. Être exilé du jardin d’Eden, c’est cela qui fait la souffrance. La douleur psychique est là pour une raison.

LE VRAI PROBLÈME EST QUAND ON SE DÉSENSIBILISE A LA DOULEUR DES AUTRES.

Ce n’est pas que l’amour n’est pas là, c’est simplement qu’on le garde à distance.

Quand on se transforme spirituellement, ce qui existait, n’existe plus.

L’EGO dit : « Je veux quelque chose d’autre »

L’ESPRIT dit : « Je vais transformer ce que tu as déjà

Dans notre soci2té, être triste est mal perçu, Nous avons plus de foi dans les produits chimiques que dans notre potentialité divine. La science est brillante à bien des égards, cela ne signifie pas qu’elle est la réponse ultime ! C’est important de ne pas se prendre au sérieux car la vie est sérieuse.

LE BUT EST DE TROUVER LA PAIX INTÉRIEURE.

LISEZ LE JOURNAL ET PRIEZ? AGISSEZ POUR QUE LE MONDE AILLE MIEUX§

TOUT CE QUE NOUS DONNONS NE PEUT PAS NOUS MANQUER

MÉDITATION

Dans n’importe qu’elle situation, donnez moi la conscience pour comprendre ce qu’il m’arrive; La source est en soi et je sais que ce qui bloque ma manifestation est en moi même

 

 

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LAISSER ENTRER LA TRISTESSE

voyage spirituel

La douleur émotionnelle n’est pas seulement un problème d’ordre psychologique. C’est un problème spirituel. La dépression est peut-être, ou pas un trouble cérébral, mais elle est certainement une affection de l’âme. Il est impossible de s’en débarrasser en s’en remettant simplement à la médecine ou à la psychothérapie traditionnelle. Comment une méthode qui ne reconnait pas l’existence de l’âme pourrait-elle la guérir?

Au cours de ces dernières décennies, le corps médical s’est approprié la question de la dépression en dissociant artificiellement les termes « tristesse » et « dépression », ce qui est d’aucune utilité, sauf pour l’industrie pharmaceutique. Cette dissociation est une construction manipulatrice, qui sert la vente des traitements médicaux, mais n’apporte tien au traitement du problème. Les gens parlent à présent de « dépression clinique » comme si cette maladie était détectable à l’aide d’une prise de sang. On pourrait donc dépister la dépression en cochant les cases d’un questionnaire.

Évidemment les gens ont besoins parfois de toute l’aide possible, médicamenteuse ou autre, et le traitement médicalisé de certains troubles mentaux tel que le désordre bipolaire ou la schizophrénie, peut sauver des vies. Mais bien que dans certains cas l’utilisation de médicaments puisse être efficace, voire vitale, cette consommation irréfléchie d’antidépresseur en constante augmentation n’est certainement ni efficace ni vitale.

Aujourd’hui, des centaines de milliers personnes, après avoir simplement mentionné à une ou deux reprises qu’elles traversaient une période difficile, sortent de chez le médecin avec une ordonnance entre les mains. Nous sommes bombardés de tous les cotés par l’illusion d’une vie plus heureuse grâce à la chimie.

Tous ceux qui traversent une période difficile, voire très difficile, ne sont pas atteints de maladie mentale. Il est important de ne pas minimiser les questions de santé mentale, mais il est tout aussi essentiel de ne pas pathologiser ) outrance la souffrance humaine. La vie peut être douloureuse. Le passage à l’âge adulte est difficile, mais ce n’est pas une pathologie mentale. Un divorce est difficile mais ce n’est pas une défaillance mentale. Le deuil d’un proche est douloureux, mais ce n’est pas un trouble mental. S’il en est une, la seule pathologie mentale est cette idée pernicieuse que la profonde souffrance en est une.

Une vision du monde trop tournée vers l’extérieur nous éloigne de notre âme, notre essence et engendre de la souffrance. Ce n’est qu’en nous connectant à notre âme par la voie du cœur associé à notre cerveau que nous pourrons nous libérer de la douleur. Récupérer notre âme ne se fait pas en versant de la lumière sur notre obscurité, mais en exposant progressivement notre obscurité à la lumière. Nous devons exhumer nos zone d’ombre, notre résistance à l’amour, pour les libérer. Et ce processus ne nous rend pas forcement heureux. Mais en évitant la tristesse, nous évitons notre vie.

Éviter la tristesse amoindrit notre capacité d’apprendre d’elle. Comment comprendre profondément ce que nous n’avons pas réussi à voir ?

Tout comme les bébés développent les anticorps dont ils ont besoin qu’en étant exposés aux bactéries, les gens qui évitent à tout prix de souffrir ne développent pas les compétences émotionnelles nécessaires pour y faire face.

En reconnaissant la signification spirituelle de notre tristesse, nous trouvons sa place dans notre psyché et comme dans notre vie. Nous prenons conscience de ce qui nous à éloignés de l’amour, des autres, et donc des forces supérieures. Ainsi en reconnaissant la véritable racine de notre souffrance, nous retrouvons notre puissance et agissons sur le problème à l’endroit même ou il se trouve.

Cette proportion au « moi d’abord » est la cause de notre épidémie de malheur; En changeant notre attitude de façon collective, nous guérissons. Une société dont les systèmes sociaux et économiques nous incitent à vivre séparés d’avec soi même, es autres et de la terre sur laquelle nous vivons est une société qui n’apporte que de la souffrance.  C’est un monde malade, qui traite de fous ceux qui n’y trouve pas leur place. Essayer de s’adapter à une société dysfonctionnelle ne nous guérit pas de notre souffrance, c’est une façon pernicieuse d’aggraver notre désespoir.

D’un point de vue spirituel, l’humanité est atteinte de déficience cardiaque. Pour guérir d’une fracture, nous ne pouvons pas nous contenter d’avaler un antidouleur. Nous devons réparer l’os. Pour guérir notre cœur malade, avaler un antidouleur n’est pas non plus une réponse suffisante. Nous devons restaurer notre pensée.

Embrasser votre tristesse, elle vous en dira long sur la connaissance de soi.

Bonne méditation

 

 

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Impact du traumatisme psychique

 

 

L’un des effets les plus pernicieux du traumatisme est la manière dont il perturbe notre faculté de « lire » les autres, ce qui rend l’interaction sociale extrêmement difficile. Celui ou celle qui a subit une violence physique et psychique à répétition se retrouve mal à l’aise dans sa vie sociale avec une grande difficulté à trouver la paix ou le plaisir dès qu’il ou elle se trouve en groupe. Bien souvent en quête de solitude pour pouvoir se retrouver. Si puissant qu’est ce besoin de solitude, il et elle ont aussi, comme nous tous, le besoin de contacts humains.

Les activités artistiques, la marche en pleine nature sont des moyens de nouer des rapports non seulement avec soi-même, mais aussi avec les autres dans un environnement ou la rencontre se trouve bien moins risquée que lorsqu’on l’on doit évoluer en société. Dans la sécurité d’un espace on peut parvenir à éviter les conflits et les pertes de contrôle, qui sont les principales craintes des personnes traumatisées.

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QUE DISENT LES YEUX?

QUAND LA LUMIÈRE S’ÉTEINT

Avec le port du masque obligatoire, il nous reste à voir qu’une partie du visage ;
Et que voyons-nous ?


Dans une grande partie de ces yeux, la lumière est éteinte. La peur et l’obéissance ont remplacé l’intensité de notre flamme intérieure.
Ce qui nous amène à fonctionner de façon robotique.
Dans ses yeux-là, l’absence à soi-même est évidente. Comme s’ils avaient renoncé à toute verticalité, voir parfois à toutes pensées ou la conscience s’anéantit dans une matérialisation de plus en plus dense. Ce qui parfois donne le sentiment d’avoir à faire à des morts-vivants.
Dans d’autres yeux, nous lisons un intense désespoir et ceci quelles que soient les paroles qui s’échappent d’une bouche masquée et rendue absolument inaudible.
Il y a dans ces yeux, l’expression ‘une souffrance, celle d’une brisure profonde. La présence ne veut pas encore disparaître. Cette présence cherche par tous les moyens à éclairer la conscience.
Une lutte pour manifester sa présence dans le courant alternatif. Et cela donne le sentiment collectif, d’être à nouveau tombé dans un piège.
Cela pousse à observer ce paradoxe entre ce qu’on nous raconte et l’état même du RÉEL, et diffuse dans les consciences psychiques que quelque chose ne va pas, qu’il y a un manque de cohérence.

Est-ce que la nature de l’enjeu, n’est pas que sanitaire, mais bel et bien spirituelle ?

Nous voyons aussi dans ces yeux-là, des éclats intermittents de lumière d’affirmation de la présence.
Dans d’autres yeux, plus rares, la lumière de la présence est pleine et entière, la présence apparaît comme infiniment vivante, vibrante. Elle ne se laisse plus bernée par les ruses, elle a atteint une capacité de discernement, cela s’appelle simplement le bon sens, la capacité de voir l’évidence, et l’absence de peur projetée avec la clarté de conscience sur les enjeux actuels.
Lorsque nous voyons ces yeux, nous sentons qu’ils pétillent d’amour et de compassion pour l’humanité. Ces Êtres parlent à partir d’un lieu de paix et leurs simples champs de présences contribuent à éveiller ceux qui sont autour d’eux.
Dans ces yeux, l’Être rayonne.
Il n’y a ni colère, ni révolte, ni résistance.

Ces yeux qui sont de plus en plus nombreux, marquent l’échec du processus de contrôle collectif.

Ces yeux, chacun a leur manière sont les relais de la puissance collective dans notre incarnation. Il est évident pour eux que la seule chose à faire dans leur ligne de vie est de respecter leur intégrité, leur vérité intérieure, basée sur le réel et de l’annoncer aux autres.

Ces yeux sont ceux dont la parole est libre, n’ayant pas d’autres intérêts que celui de servir l’esprit.

Nous pouvons donc observer dans notre entourage entre la plus grande absence et la plus grande présence.

Il est important de reconnaître nos émotions, car chaque émotion est associée à une sensation au niveau du corps physique. Quand nous sommes heureux, nous ressentons une expansion qui apporte la joie et quand nous sommes en colère ou triste une contraction, c’est la CONSCIENCE

L’esprit se contracte et donne une fatigue née de la résistance au réel, aux choses et a cela s’ajoute une fatigue née de la résistance à soi.

LE SECRET de la présence, c’est l’acceptation de ce qui est sans s’identifier à l’émotion. Puis trois choix possibles, se retirer de la situation, changer ce que l’on peut changer ou accepter et assumer les conséquences de cette acceptation.

Plus vous êtes en contact avec le témoin ou l’observateur en vous, plus la présence se manifeste.


Simplement la nature du Réel, que sont l’amour et l’empathie qui s’expriment.
De tous mes vœux, j’aspire à ce que cette belle présence, la paix intérieure qui mène à la joie du cœur se réalise auprès d’un plus grand nombre d’individus, pour faire évoluer la conscience collective.
LBH

 

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