C’est dans le silence intérieur que nous ressentons le vide que le silence extérieur nous a donné!
combien de fois ai-je entendu : « comme j’aurai apprécié entendre le mot
mon enfant, ma fille, mon fils, ma femme, mon amie, ma chérie, mon chéri mon amour »
Ces simples petits mots d’appartenances nous ont été dit bien évidemment, mais parfois rarement ou tout simplement pas quand nous en avions besoin !
Ces simples petits mots qui apportent ce doux sentiment d’attachement. L’attachement pas dans le sens de la possession, mais l’attachement qui fait que l’on se sent aimé, appartenir à une famille, à un couple, un groupe, une culture, une nation.
Cet attachement qui donne le sentiment d’exister aux yeux de ….
Pas un attachement qui étouffe, enferme, Non ! c’est plutôt , cet attachement qui donne confiance, qui apporte la liberté d’être dans toutes nos dimensions.
Cet attachement qui ouvre le champ de notre conscience de l’amour.
L’amour du sentir l’autre, d’être connecté à l’autre sans ôter son espace de liberté.
Pas un attachement dominateur qui aliène l’autre, Non ! c’est plutôt un attachement subtil qui fait chaud au cœur.
Ces simples petits mots « mon, ma mes » lorsqu’ils sont dit avec la sincérité du cœur, revêtent la plus douce des mélodies. Une histoire d’amour, d’amitié d’émotions et de sentiments.
Car lorsque quelqu’un nous quitte ou meurt, la seule chose qui nous reste c’est cette douce mélodie des sentiments.
Le contraire de l’amour n’est pas la haine, c’est l’indifférence , c’est occulter la présence de l’autre.
Posez vous la question de vos appartenances, a celles auxquelles vous tenez et nourrissez les , car pour vivre il est important d’être nourrit !